Clément Artois
Dire au revoir demande parfois vraiment beaucoup d’efforts, mais surtout, cela peut causer beaucoup de douleur et de tristesse. En fait, dire au revoir nous submerge souvent de peur et d’incertitude.
Lorsque nous aimons quelqu’un, nous devons faire attention à ne pas perdre notre individualité ou à changer notre façon de voir le monde ou de vivre.
L’amour grandit lorsqu’on est libre de continuer à évoluer et à grandir pas quand on supporte des choses.
Tout est une question de préférence plutôt que de nécessité. Vous choisissez d’être ensemble avec quelqu’un, et d’évoluer et de grandir avec lui ou elle.
Nous devons être les personnes que nous avons toujours voulu être, toujours entières et complètes, sans aspirer à une autre « moitié » qui nous « compléterait ».
Si cela ne se produit pas, ou s’il n’y a pas deux personnes différentes et uniques qui jouissent de leur vie individuelle et de celle qu’elles ont créée ensemble, il parfois préférable de dire au revoir et de partir.
Ouvrez-vous à de nouvelles possibilités et laissez les gens, les lieux et les choses nouvelles et meilleures vous arriver.
«Si vous ne vous aimez pas, il ne sera pas facile pour les autres de vous aimer. Un amour sain commence toujours chez soi»- Walter Riso
Aimez-vous d’abord, puis choisissez qui vous voulez
Nous devons apprendre à dire «je m’aime» avant «je t’aime». Ce n’est qu’ainsi que nous connaîtrons vraiment l’amour.
L’amour n’est pas un jeu ou une compétition. Il ne s’agit pas de gagner ou de perdre, mais de grandir et d’évoluer.
Ce n’est pas facile d’avoir à choisir entre son bien-être personnel et celui de ceux qu’on aime.
Cependant, c’est le seul moyen de ne laisser aucune cicatrice dans notre cœur et de ne pas nous sentir vides et désolés.
Après tout, nous sommes tous responsables de notre propre bonheur. Cela ne devrait dépendre de personne d’autre que nous-mêmes.
En semant des graines d’amour, en gardant les fruits de la tempête, nous fournirons de la nourriture saine à notre amour pour les autres.
Pour cette raison, avant de penser que nous aimons quelqu’un, nous devons savoir si nous nous aimons suffisamment.
