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Qui pourrait s’obstiner à ne pas regarder vers la lumière ?

Qui pourrait s’obstiner à ne pas regarder vers la lumière ?

Ils est des pierres sur lesquelles tu dois tomber; des branches sur lesquelles ta tête doit frapper, afin que ton regard soit levé vers la cime de l’arbre. Et il est des ornières où devra s’écouler l’eau de tes larmes afin que le soleil consente à s’y mirer.

Si tes yeux se troublent, ils ne verront pas le soleil se lever. Si ton cœur se ferme, aucune étoile ne voudra y frapper…

Redresse-toi ! Cette tristesse est ombre et non pas le berceau de ton sourire.

La Vérité est comme la lumière du soleil, le hibou la fuit, l’aigle la regarde.

On ne brise pas sa coquille de l’extérieur en la projetant avec force contre les parois de ce monde. Lui seul peut la briser, qui, reprenant vigueur et vérité peut la faire éclater de l’intérieur.

Que suis-je … l’immobile caverne, ou la pierre mouillée que le torrent recouvre.
Sur le chemin, les pierres ont déchiré tes pieds et les ronces ont griffé ton visage.
Ton cœur est douloureux et tu as été aveugle pendant plus de la moitié de ton trajet.
Quand l’espace de nos pensées est empli de nuages…quand le ciel gronde…

Il est toujours des oiseaux fous qui espèrent traverser la vaste mer. Si on leur dit qu’ils ne pourront pas se poser, ils espèrent le secours d’un nuage. Mais les nuages ne supportent pas le poids d’un oiseau…

Ils répondent qu’il est des rochers qui surgissent de l’eau. Mais au large, la vaste mer est profonde…

Si on leur parle de solitude, ils espèrent que des compagnons se joindront à eux. Mais de compagnons ils n’en trouvent point…

Il est des oiseaux fous qui espèrent traverser la vaste mer.

Si on leur dit que va souffler la tempête, ils pensent que le vent les poussera vers la rive…
Il est des oiseaux fous; ceux qui veulent aller toujours plus loin, toujours plus haut !

Qui connaît le trajet de l’abeille parmi les fleurs ?

Il paraît aux yeux simples que ce n’est pas un chemin.

Qui pourrait s’obstiner à ne pas regarder vers la Lumière ?

Je me souviens du papillon et de ses ailes…

Et à ceux qui ne veulent pas d’ailes ?

Ce n’est pas qu’ils n’en veulent point…

Leur nature n’est pas de voler.

Il reste encore des fleurs au sol pour que les papillons se posent… Respecte-les.
Sache bien que les fausses ailes s’enflamment au soleil, et qu’à la tempête elles ne résistent pas.

Pixabay

Ne brise pas tes ailes aux flancs de la montagne, celle-là élevée par les hommes.
Le sommet à franchir est en toi.

Hors de toi, il n’est que des monts illusoires.

Garde rivé, le regard sur la Patrie Lointaine.

Lointaine, est-ce le mot ?

Pour ces régions bénies d’où est issu ce Cœur qui m’éveille avant l’aube…
La Nostalgie … Mais vous ancrez vos cœurs dans des ports éphémères.

Celui qui défait le collier du Monde, un temps viendra, où son pied glissera sur les plus belles perles. Et il sera gisant parmi leur transparence, et il ne voudra point se relever.

Puisse Dieu planter la graine de la prospérité, de l’espoir et de la paix dans la terre de notre cœur.

Amine !

Publié par Julie Latour

J'aime la spiritualité mais je suis surtout spécialisée en numérologie depuis bientôt 10 ans. Tout comme le célèbre philosophe, mathématicien et astrologue Pythagore, je pense que toutes les choses peuvent être exprimées par un nombre.Ne sous-estimons pas le pouvoir des nombres, ils peuvent révéler des informations essentielles sur notre avenir .

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