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Les fins font mal, mais les débuts guérissent

La liberté d’aimer est le même droit que la liberté de penser ; l’un répond au coeur, l’autre à l’esprit ; ce sont les deux faces de la liberté de conscience.

Victor Hugo

Je me souviens de la première fois où j’ai mis fin à une relation , j’ai pleuré comme s’il n’y avait pas de lendemain.

Je pensais que je ne trouverais jamais quelqu’un de mieux, je pensais que je ne pourrais plus jamais aimer, et que l’amour, en fait, était quelque chose qui n’existait que pour me faire souffrir.

Un peu plus tard, je suis retombée amoureuse, j’ai vécu une relation qui a donné un nouveau sens à ce qu’était l’amour pour moi. Ce n’était plus le même sentiment que j’avais ressenti la première fois.

Et puis, j’ai pu voir à quel point la première relation était immature, compliquée et superficielle.

Jusqu’à ce que la seconde prenne une autre tournure, c’est devenu une relation difficile. L’amour s’est transformé en quelque chose de froid, insipide et rugueux. Je devais en finir, et cela n’a pas été facile.

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Je me souviens que la deuxième fois que j’ai mis fin à une relation, j’aimais toujours beaucoup la personne, mais j’ai dû partir parce que : soit je restais et je m’habituais à mon sort, soit je voyais à quel point je méritais mieux et je suis partie tout de suite.

J’ai appris que parfois, pour notre propre bien, nous devons quitter la vie de certaines personnes .

Je sais ce que c’est que de sauter sans parachute, mais je peux vous assurer que la chute vous réveille. Ça nous fait revenir à la réalité.

Depuis, je ne suis plus restée une seconde dans des relations qui ne me convenaient pas, dans des bras qui ne m’accueillaient pas.

Désormais, je ne reste pour personne dans ce monde où que ce soit qui ne ne me convient pas, parce que j’ai resignifié l’amour. Et pour moi, l’amour ne doit pas passer par l’insistance , la douleur, la négligence. Je n’accepte rien de moins que ce que je sais que je mérite, et je sais exactement ce dont je n’ai pas besoin.

J’ai l’habitude de dire que les fins font mal, mais que les débuts guérissent.

Non pas qu’il faille s’habituer à la fin, mais qu’il faut reconnaître qu’elle existe, et que parfois il n’y aura pas de choix facile, il faudra choisir entre mettre fin à quelque chose ou insister jusqu’à se perdre. Et j’ai appris que de toute façon, même si j’aime, même si ça fait mal de partir, il vaut mieux partir que de payer le prix de me perdre.

Parce que si je n’apprécie pas l’amour que je porte en moi, qui le fera ?

Refuser d’aimer par peur de souffrir, c’est comme refuser de vivre par peur de mourir

Anonyme

Julie Latour pour Conscience et éveil spirituel

Publié par Julie Latour

J'aime la spiritualité mais je suis surtout spécialisée en numérologie depuis bientôt 10 ans. Tout comme le célèbre philosophe, mathématicien et astrologue Pythagore, je pense que toutes les choses peuvent être exprimées par un nombre.Ne sous-estimons pas le pouvoir des nombres, ils peuvent révéler des informations essentielles sur notre avenir .

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