Une formule magique qui fonctionne «Tous les jours, en tout point de vue, je vais de mieux en mieux»
J’ai écrit cet article à titre d’information et pour l’intérêt certain et véridique qu’il peut représenter.
Je vous conseille fortement de le lire, de l’intégrer à votre pensée, et d’en expérimenter les techniques. Cela ne pourra que vous qu’élargir le champ de votre horizon, de votre conscience, de votre connaissance et de vos possibilités.
Néanmoins, si vous êtes malade, nous ne vous l’indiquons absolument pas en alternative unique à un traitement médical approprié. Faites ce que la logique vous impose, allez consulter votre médecin.
Formule magique
Dans les début des années 1900, un pharmacien de Moselle nommé Émile Coué, avait remarqué que les médicaments qu’il préparait pour ses patients semblaient augmenter en efficacité si le patient croyait réellement en elles. Ainsi, il avait pris l’habitude de dire à ses patients quand il leur vendaient les médicaments : « Prenez donc ce médicament, et vous irez de mieux en mieux ».
Fort de ses expériences auprès de ses clients, et de ses recherches, il en a écrit un ouvrage resté célèbre de nos jours : la maitrise de soi-même par l’autosuggestion consciente. Son livre reprend les cas de nombre de ses clients qui se sont guéris de pathologies physiques et mentales grâce à la pratique de l’autosuggestion qu’on appelle également désormais auto-hypnose.
Voici quelques exemples tirés de son ouvrage :Mme H…, à Maxéville. Eczéma généralisé. Il est particulièrement intense à la jambe gauche. Les deux jambes sont enflées, surtout aux chevilles, la marche est difficile, douloureuse. Suggestion. Le soir même, Mme H… peut faire plusieurs centaines de mètres sans fatigue. Le lendemain les pieds et les chevilles sont désenflés et ne renflent plus depuis. L’eczéma disparaît rapidement.
M. M…, ouvrier bonnetier, demeurant à Sainte-Savine, près de Troyes, paralysé depuis deux ans à la suite de lésions à la jonction de la colonne vertébrale au bassin. La paralysie n’existe que dans les membres inférieurs, la circulation du sang est presque nulle dans ces membres qui sont gonflés et congestionnés au point d’être violacés. Divers traitements, même le traitement antisyphilitique, ont été appliqués sans résultat. Expériences préliminaires, bien réussies, suggestion de ma part, autosuggestion de la part du sujet pendant huit jours. Au bout de ce temps, mouvements presque imperceptibles de la jambe gauche, mais cependant appréciables. Nouvelle suggestion. Huit jours après, amélioration notable.
De semaine en semaine, amélioration de plus en plus grande avec disparition progressive de l’enflure, et ainsi de suite. Au bout de onze mois, le 1er novembre 1906, le malade descend seul ses escaliers, fait 800 mètres à pied et, au mois de juillet 1907, il rentre à l’atelier, où il continue à travailler depuis ce moment, ne conservant plus trace de paralysie.
J’ai souffert pendant trois ans d’épouvantables crises d’asthme qui me prenaient à peu près tous les mois et m’obligeaient à garder le lit pendant quinze jours; j’étais alors dans l’impossibilité complète de faire le moindre mouvement sans éprouver de grandes souffrances. J’ai eu en septembre dernier la dernière crise. Je restais alors avec une oppression moins forte sans doute, mais presque continuelle, et pour cette raison, très pénible. J’en arrivais parfois à regretter les crises aiguës qui du moins me laissaient entre elles quelques jours de répit. Toute nourriture augmentait l’oppression et j’avais le chagrin de ne pouvoir vivre de la vie de tout le monde. J’étais dans cet état depuis plus de quatre mois lorsque, vers le 15 janvier, l’on me fit connaître votre méthode. Après quelques jours d’hésitation et de doute, je me suis dit que, puisque d’autres avaient été guéris de la maladie dont je souffrais, il n’y avait pas de raison pour que je ne le sois pas aussi.
Je me mis à répéter avec ardeur vingt fois matin et soir « tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux ». Dans la journée, tout en allant et venant je redisais souvent : « je vais mieux, je vais mieux, etc. ».
Dix jours de l’application de cette méthode s’étaient à peine écoulés qu’un mieux très sensible se marquait dans ma respiration. Je respirais beaucoup plus librement. Je continuai la méthode avec plus d’ardeur et de confiance que jamais. Le mieux s’est de plus en plus accentué depuis janvier et sans aucune rechute. Aujourd’hui, je suis presque complètement guérie. De loin en loin seulement, j’éprouve encore une légère oppression en montant une côte ou un escalier; mais j’espère bien faire disparaître tout à fait ces derniers mauvais souvenirs de ma maladie.
J’ai repris ma vie normale, je sors comme tout le monde, je fais des promenades de dix et quinze kilomètres dans la campagne sans essoufflement, je prends part à toutes les réunions de parents et d’amis, je puis voyager comme bon me semble, choses que je ne pouvais plus faire depuis près de quatre ans. Il me semble que je recommence une nouvelle vie…
Mlle M. C…, Bergues.
Un courrier d’un patient à Mr Coué: … Au printemps de 1916, dans les tranchées de Loos, je fus frappé sur le côté gauche de la tête par un éclat de grenade, ce qui détermina une paralysie presque totale de mon côté droit. Je ne pouvais plus faire aucun mouvement ni avec la jambe droite ni avec le bras droit. Le goût et l’odorat étaient très émoussés et mon poids tombait à 98 livres. Ma mémoire était affaiblie et je parlais avec beaucoup de difficulté. Pendant les six années qui suivirent, je fus soigné dans différents hôpitaux, mais la paralysie résista aux massages, aux bains, à l’électricité, à la chaleur et à la lumière.Cependant, pendant ce laps de temps, mon poids remonta à 126 livres. En novembre 1921, je lus l’ouvrage de Charles Baudouin sur l’autosuggestion et aussitôt je me sentis attiré par l’œuvre de l’École de Nancy.
Ma femme m’amena dans cette ville dans un fauteuil roulant, ce qui était mon mode de locomotion habituel, car je ne pouvais que très peu marcher à l’aide d’une canne et en traînant la jambe; en même temps, je portais mon bras droit en écharpe. À ma première visite, M. Coué me dit que ma guérison, si elle était possible, serait forcément très longue. Quoiqu’il ne l’avouât pas, il la croyait alors impossible. Il dit à ma femme de me faire de la suggestion la nuit, pendant mon sommeil. Tout de suite, mon appétit revint et je digérai tous mes aliments. Depuis ma blessure, je ne mangeais que très peu et je souffrais des nerfs. Je me mis à dormir huit heures toutes les nuits, tandis que dans les hôpitaux, j’avais dormi en moyenne deux heures. Pendant les trois premiers mois, mon poids augmenta d’environ 28 livres. Le goût et l’odorat commencèrent à revenir et ma femme remarqua que, pendant le sommeil, je faisais de légers mouvements avec mes doigts et ma jambe. Ce fut seulement en novembre 1922 qu’apparurent les premiers signes visibles d’amélioration de la paralysie. J’arrivai à soulever mon pied, je pus remuer tous les doigts et lever le bras. Mes progrès se firent plus marqués de jour en jour et maintenant je me considère comme guéri. Je suis plus heureux que je ne puis le dire d’avoir retrouvé la santé là où je l’avais perdue, en France, et par l’aide d’un Français.
R…, New-York.
Ainsi, si vous vous voulez expérimenter l’autosuggestion, travaillez sur un point que vous voulez résoudre pendant un mois, et efforcez-vous à pratiquer au moins deux fois par jour. Cela est très efficace si vous le faites en relaxation profonde. Si vous ne savez pas comment vous relaxer, voici une méthode que je vous indique:
Assoyez-vous dans un siège confortable dans une position qui vous permet de maintenir cette position pendant au moins une demi-heure sans inconfort. Vous pouvez poser vos pieds sur un repose-pieds, ou sur une autre chaise devant vous.
De plus, je ne vous conseille pas de vous coucher sur votre lit, car cette position risque de vous pousser au sommeil quand vous serez profondément relaxé. Néanmoins, si vous préférez le faire coucher, reposez votre tête sur un gros coussin qui sera au-dessus du niveau de corps, afin que vous ne vous endormiez pas.
Maintenant, l’exercice proprement dit. Faites – le comme si vous vous amusiez. Faites comme si c’était facile. Ne vous mettez pas la pression. C’est beaucoup plus facile que vous le pensez. Si vous n’êtes pas à l’aise, la première fois, c’est normal. Cela peut prendre une vingtaine de minutes. Néanmoins, plus vous le faites, plus ce sera facile et rapide, et vous verrez à quel point votre corps répond à votre pensée. Au bout de quelques semaines, vous serez profondément détendu en quelques minutes.
Maintenant, voici comment relaxer votre corps littéralement de la tête au pieds. Respirez profondément une dizaine ou quinzaine de fois. Pour ce faire, inspirez par le nez, puis retenez votre respiration pendant une dizaine de secondes, puis expirez par le nez.
Ensuite, commencez par relaxer votre tête. Portez votre attention sur votre cuir chevelu.Ressentez – le. Ne forcez pas. Gardez juste votre attention sur un endroit de votre cuir chevelu. Une fois que vous le ressentez, dites-lui silencieusement de se détendre en lui disant directement: « Détend-toi ». Vous pouvez visualiser que vous retirez avec une main magique imaginaire et guérisseuse tout le stress, toute maladie de cet endroit. Sentez comme cela vous fait du bien. En relaxant ce point de votre cuir chevelu, tout votre cuir chevelu sera relaxé.
Maintenant concentrez-vous sur votre front.
Ressentez-le. Dites -lui de se détendre. Vous pouvez si vous le désirez utiliser encore votre main magique pour retirer tout stress, toute émotion négative, toute maladie de cet endroit. Sentez comme votre front est maintenant détendu.
Passez maintenant à vos yeux. Dites – leur de se détendre. Utilisez la main imaginaire maintenant. Prenez conscience que vous vous sentez bien. Vous entrez dans un sentiment profond de détente.
Allez ensuite à votre visage tout entier, puis votre nuque, votre cou, vos épaules, votre tronc, votre poitrine, votre dos, votre colonne vertébrale, votre cœur, votre ventre, vos cuisses ainsi de suite jusqu’à vos orteils.
Vous êtes maintenant profondément détendu. Vous êtes bien, vous semblez flotter. Vous êtes maintenant fin prêt pour faire votre autosuggestion.
Pour faire votre autosuggestion, répétez la phrase : « Tous les jours, en tous points de vue, je vais de mieux en mieux ». Répétez -la avec joie et conviction, comme si vous étiez certain que cela allait marcher. Pour restez concentré, vous pouvez utiliser un objet comme un chapelet que vous égrainerez au fur et à mesure que vous répétez votre phrase. Si vous faites un tour complet, vous l’aurez répété 50 fois. Et on atteint le subconscient, par la foi et la répétition.
Soyez discipliné, et vous ferez vraiment des miracles dans votre corps et dans votre vie.
Bon courage.
Source formule magique : metanoialaporteauxmiracles.com
J’ai pratiqué cela pendant un an… Aucuns changements réellement positifs ni significatifs (pas plus que si je n’avais rien fait de spécial en tout cas), j’ai dû rater un truc.
Effectivement ça ne fonctionne pas.
Dis pas de sotise on le sait que ça marche , moi même une femme populaire comme tout le monde j’ai guérie de soucis infernal de problemme au niveau du foi intestint blabla bli et j’en passe , j’me disais chaque jour « mon corps est une puissante machine » j’imaginai un engrenage se metre en route … Tu sais ce qui se passe , ce sont les baisses de morales qui influencent le mentale et fait mentir la formule , sache que la formule est une formule et c’est au mentale qu’appartient le pouvoir