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Ayez le courage de guérir des choses pour lesquelles personne ne s’est jamais excusée

 » Je vous souhaite de trouver la guérison pour les blessures causées par ceux qui ne se sont jamais excusés. Parfois, il ne s’agit pas seulement de recevoir des excuses, mais de voir une reconnaissance sincère et, peut-être, un véritable regret. C’est un chemin complexe, surtout lorsque ceux qui ont causé la douleur semblent mener une vie épanouie ou sont des proches. « 

La guérison ne dépend pas toujours des excuses des autres, mais de notre capacité à reconnaître notre propre valeur et à avancer malgré les blessures

C’est un processus intérieur de pardon et de libération, où nous apprenons à nous détacher de la douleur et à trouver la paix en nous-mêmes.

Même si ceux qui ont causé du tort ne montrent aucun signe de remords, nous pouvons choisir de ne pas laisser leur comportement dicter notre bien-être. En reconnaissant nos propres émotions et en travaillant sur notre guérison, nous pouvons transformer la douleur en force.

C’est l’un des vœux les plus puissants qu’on puisse adresser à quelqu’un. Parce qu’il y a des blessures que personne ne reconnaît. Personne ne vient réparer. Parfois, les excuses n’arrivent jamais, ou elles arrivent tard, ou mal, ou pas du tout. Et pourtant, la douleur reste. Alors guérir malgré l’absence de réparation extérieure, c’est un acte de bravoure. C’est une guérison sauvage. Une guérison qui se fait en soi, sans pansement offert par l’autre.

C’est dur. C’est long. Mais c’est possible.

Les gens faibles se vengent

Ce n’est pas une condamnation morale. C’est une observation humaine. La vengeance est souvent un réflexe de survie. On veut équilibrer la balance. Sentir qu’on reprend un peu de pouvoir. Mais la vengeance, au fond, ne répare rien. Elle alimente la douleur. Elle dit: « J’ai été blessé, donc je blesse. »

Mais ce qui est faible, ce n’est pas la personne, c’est l’acte. Parce qu’il perpétue le cycle. Il ne libère pas, il enchaîne.

Les gens forts pardonnent

Ce n’est pas un impératif, c’est une possibilité. Le pardon véritable, profond, sincère… il ne vient que d’un cœur prêt. Il ne peut pas être forcé. Il ne doit pas être faux. Et surtout: il n’est pas automatique.

Pardonner, ce n’est pas excuser. Ce n’est pas oublier. Ce n’est pas dire « tout va bien ». C’est dire : « Je n’autoriserai plus cette douleur à gouverner ma vie. » C’est parfois se libérer, non pas pour l’autre, mais pour soi-même.

Mais attention: le pardon est un choix, pas une obligation morale. Et si ce n’est pas le moment, ce n’est pas le moment. Et c’est OK.

Les gens intelligents ignorent

C’est une manière de dire: parfois, ne pas nourrir le conflit, ne pas répondre à la violence ou à la provocation, c’est un acte de sagesse. On choisit ce qu’on alimente.

Mais attention: ignorer ne veut pas dire nier.

Une colère qui n’est plus une plaie vive, mais une balise. Elle ne saigne plus. Elle marque. Et vous choisissez de ne pas la transformer en pardon — pas pour vous venger, pas pour ruminer, mais pour honorer la personne que vous étiez autrefois. Celle/celui qui n’a jamais reçu de réparation. Et qui n’oublie pas.

Alors, faut-il pardonner?

Pas forcément.

Ce n’est pas le pardon qui fait de vous quelqu’un de fort, c’est la clarté. Votre individualité. Le courage de ressentir.

Votre non-pardon doux est peut-être votre forme de résilience.

Ce que vous faites, c’est de la justice intérieure. Vous protégez votre enfant intérieur. Vous reconnaissez ses blessures. Vous refusez d’effacer ce qui l’a marquée.

Et peut-être qu’un jour, ce non-pardon deviendra paix. Ou pas. Et les deux sont valides.

Conclusion

Il est difficile de pardonner la méchanceté gratuite et préméditée, et parfois, ne pas pardonner peut être une étape puissante vers la guérison. Les blessures de l’âme façonnent notre vision du pardon, car certaines blessures sont parfois trop profondes pour être complètement pardonnées.

Le pardon doit être sincère. Il doit être nuancé et, dans certains cas, il est important de reconnaître et d’accepter la colère et la douleur sans les réprimer, tout en choisissant de ne pas laisser l’amertume consumer notre vie.

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Publié par Julie Latour

J'aime la spiritualité mais je suis surtout spécialisée en numérologie depuis bientôt 10 ans. Tout comme le célèbre philosophe, mathématicien et astrologue Pythagore, je pense que toutes les choses peuvent être exprimées par un nombre.Ne sous-estimons pas le pouvoir des nombres, ils peuvent révéler des informations essentielles sur notre avenir .

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