Pardonner, c’est une façon de se faire prendre encore une fois pour un con par une personne en qui on a cru qu’on pouvait ravoir confiance et ne pas douter de sa sincérité.
C’est un risque à prendre, mais on est plus souvent déçu qu’autres choses.
Inconnu
Les gens qui sont souvent trop « déçues » des autres, ne veulent plus laisser entrer personne dans leur vie.
D’autres déplorent que les gens se présentent toujours sous un beau jour mais, lorsqu’elles les connaissent mieux, découvrent parfois des gens avec « des problèmes psychologiques ».
D’autres encore ne comprennent pas pourquoi elles attirent toujours le même genre de voisins, de patrons, d’amis, d’amoureux.
Mais quel est le dénominateur commun de ces situations que nous avons tous vécu ou vivons encore?
NOUS!
Tant que nous jugerons les autres parce qu’ils nous déçoivent ou nous irritent, nous serons bloqués au même niveau de conscience du jugement, du manque d’amour, de l’ego outré! Pourtant, c’est la Vie, dans sa grande sagesse, qui nous envoie CHACUNE de ces personnes.
Toutes les personnes que nous rencontrons ont été attirées à nous par une partie de nous qui vibrent au même niveau d’énergie qu’elles, au même niveau de conscience qu’elles. Sans exception….
Alors si nous attirons des personnes toxiques, quelle est la partie de nous qui vibre au niveau toxique et que nous avons BESOIN de découvrir pour la guérir?
Si nous attirons des gens qui jouent un rôle et qui ne sont pas authentiques et que cela nous dérange, quelle partie de nous vibre au manque d’authenticité, au fait de jouer un rôle pour cacher ce que nous sommes?
Si nous attirons des gens qui nous irritent ou avec lesquels tout semble toujours compliqué, quelle partie de nous vibre au niveau énergétique des choses compliquées, de l’irritation facile?
Quelle partie de nous nous irrite encore mais que nous ne voulons pas voir?
Quelle partie de nous complique souvent les choses mais que nous ne voulons pas voir?…………. »
AI
« L’enfer, c’est les autres », écrivait Sartre. Je suis intimement convaincu du contraire. L’enfer, c’est soi-même coupé des autres.
Abbé Pierre