Théo, 10 ans, a une peur maladive des nombres impairs et en particulier du chiffre 3. Très superstitieux, il s’adonne à des rites.
Théo vit dans une petite ville avec ses parents. Depuis quelque temps, il suit à la lettre les instructions de l’énigmatique Abra pour éviter que le malheur ne s’abatte sur sa famille. Tous les matins, avant d’aller à l’école, Théo passe donc devant une maison abandonnée pour déposer des offrandes dans une boîte aux lettres. Son quotidien est rythmé par des rituels : il évite à tout prix les nombres impairs et en particulier le chiffre 3, qu’il doit transformer en nombre pair. Le jeune garçon agit à l’abri des regards, mais il finit pourtant par se faire remarquer. Un jour, la maîtresse d’école prévient sa mère…
Avec » Le troisième œil « , il signe son premier court métrage.
Synopsis : A l’abri des regards, et surtout ceux de sa mère, Théo entasse des objets dans la vieille boîte-aux-lettres d’une maison inhabitée du quartier. Il fait des offrandes, parmi d’autres rituels où il évite à tout prix les chiffres impairs et en particulier le chiffre 3. Il suit les conseils de l’énigmatique Abra, dans le but d’éviter un certain malheur pesant sur lui et ses proches. L’enfant fait tout pour ne pas être découvert, mais les rituels deviennent de plus en plus envahissants et gênants dans sa vie. D’abord concentrés dans sa chambre, ils s’infiltrent désormais jusque dans son école. Le malheur qui gronde autour de lui et ses proches frappe aux vitres de la salle de classe…
Après des études à l’EMCA d’Angoulême, Jérôme Perillat-Collomb travaille comme animateur dans plusieurs studios d’animation parisiens, notamment chez » Je suis bien content « .
ça alors ! Gosse, je sacralisais le 3 et le 4 !
Le 4 étant ma mère. Le 3, mon père !
et j’avais tous ces rites magiques… de déplacement d’objets etc.