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DIX DOIGTS DE BOUDDHA
L’Energie de Compassion du Bouddha l’Eveillé
Cinq Initiations – Transmission à Distance
« Les Dix Doigts de Bouddha » est un système d’initiations qui à été transmis par le Maître Ascensionné Gautama, Guide Spirituel du Potala, en 2005.
« Lors des séances de soins énergétiques pratiqués sur un lama, que nous avons ressenti un contact subtil avec un guide spirituel ascensionné,’Gautama’, nous avons donc commencé à recevoir l’enseignement des Rituels d’initiation et de purification à un rythme assez accéléré, au début nous ne savions pas vraiment quoi en faire.
Ensuite nous en avons parlé au lama qui était nôtre patient, et là, il se mit à sourire et lui aussi nous enseigna, après tout devient plus clair et c’est jour après jour que le système des Dix doigts de bouddha est né. Nous l’avons étudié et pratiqué, nous avons pu constater la grande puissance de ce cadeau offert par notre guide spirituel.
Ce système n’est pas du Reiki mais peut être joint à n’importe quel autre moyen de soin énergétique et par les méditations et répétitions des mantras et soutras, il en augmente considérablement la puissance.
Cet enseignement est avant tout, pour vous comme pour vos patients, un Système d’Eveil, d’Evolution et de Guérison très puissant.
L’enseignement des « Dix doigts de Bouddha » était un enseignement soigneusement gardé depuis longtemps. Nous savons maintenant que seuls quelques grands maîtres ascensionnées l’avaient mis de côté dans les archives akachiques pour le transmettre quand le temps serait venu. Le temps est venu…. »
Ces initiations ne peuvent être transmises qu’aux personnes déjà initiées à différentes énergies et ayant déjà suivi un travail spirituel.
Lors de l’étude des « Dix doigts de Bouddha » , vous recevrez des initiations sur tous les doigts et mains entières en vue d’ouvrir leur pouvoir de guérison et de solidifier votre lien à votre vie bouddhique de guérison.
Une des grandes vertus des « 10 doigts de Bouddha » est de permettre à votre personnalité et à vos qualités d’émerger afin de faire de vous un individu unique. Ceci n’est pas uniquement lié à l’énergie de guérison. En effet, l’énergie met en action l’univers sous une forme très concentrée. Elle apporte l’équilibre de vie en ancrant le monde à la Terre et en nous aidant dans nos vies personnelles, présentes, passées et futures..
L’énergie des « Dix doigts de Bouddha » peut être utilisée dans toutes les formes quelles qu’elles soient, massage, soins de guérison, travail spirituel…
Toutefois, il est important d’expérimenter l’énergie puissante des « 10 doigts de Bouddha » et de faire un avec elle. En fusionnant avec cette dernière, la réalité de la vie deviendra magique.
Bien que nous soyons à même de comprendre ce processus d’un point de vue intellectuel, il est primordial de le ressentir à des niveaux plus profonds tels que dans nos différents corps, sur le plan de la sagesse et de la connaissance du tout.
Compte tenu de notre libre arbitre, si tel est notre souhait, l’Énergie des dix doigts de bouddha nous portera vers le chemin de l’éveil. Elle nous permettra de réaliser ce que nous avions envisagé de faire… dans d’autres sphères et vies passées. Notre destin s’accomplira grâce à cette belle énergie qui nous ancrera et nous équilibrera sur tous les plans de notre vie.
Dès lors que l’on s’engage dans notre totalité avec elle, la vie commence à dévoiler ses mystères.
En tant qu’initié aux « Dix doigts de Bouddha » , vous devez être prêt à reconnaître votre propre vérité. Acceptez de douter quand vous doutez. Posez les questions quand elles se présentent à vous. Lorsque vous entendez la vérité, ne la niez plus. Incorporez-y vos nouvelles connaissances. Porteuses de sagesse, celles-ci vous indiqueront que vous êtes sur le chemin de l’évolution et du partage avec les personnes en quête de la connaissance.
Compte tenu de la profondeur et de l’intensité de cette méthode, il est indispensable que vous compreniez la nature secrète des « Dix doigts de Bouddha ». Au cœur de la tradition des mystères, vous êtes invités à aborder le travail des « 10 doigts de Bouddha » comme un système sacré devant être conservé et protégé secrètement en tant que tel.
Que la grande compassion vibre dans tous les plans de votre Être.
Puisse-t-elle donner l’impulsion dans votre vie et vous faire accéder à la route que vous vous étiez choisi. Qu’elle éclaire votre chemin spirituel pour toujours. »
Les receveurs de ce système, ont décidé que pour la diffusion et le développement de cet enseignement au profit de ceux qui « cherchent » leur voie, de mettre en place les initiations reçues ainsi que leurs rituels de purification.
Nous avons conservé les mantras et soutras originaux appartenant aux écoles Bouddhistes, ainsi que les enseignements oraux et transcrits des Lamas.
Tous les textes sont leur propriété intellectuelle et philosophique, et seuls les rituels et textes d’initiations aux »Dix doigts de Bouddha » ont étés reçus et mis en place par nous.
Nous vous laissons donc découvrir par vous-même lors de vos initiations et méditations la beauté et la puissance des 10 doigts de bouddha.
Voici les Dix forces du Bouddha (bala) ou les Dix Connaissances du Bouddha : «Dix doigts»
♦ La connaissance du possible et de l’impossible ; Le pouvoir de distinguer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas.
♦ La connaissance de la rétribution des actes ; Le pouvoir de connaître la causalité karmique dans les vies de tous les êtres à travers le passé, le présent et le futur.
♦ La connaissance des méditations ; Le pouvoir de connaître toutes les étapes de concentration, d’émancipation et de méditation.
♦ La connaissance du degré des facultés d’autrui ; Le pouvoir de connaître la condition de vie de tous les êtres humains.
♦ La connaissance des aspirations des êtres ; Le pouvoir de connaître la condition de vie de tous les êtres humains.
♦ La connaissance des dispositions acquises ; Le pouvoir de discerner la supériorité et l’infériorité des capacités de tous les êtres humains.
♦ La connaissance de la route menant aux diverses destinées.
♦ La connaissance des existences antérieures.
♦ La connaissance de la mort et de la renaissance ; Le pouvoir de savoir quand chaque personne naîtra et mourra, et dans quel royaume elle renaîtra.
♦ La connaissance de la destruction des impuretés ; Le pouvoir d’éliminer toutes les illusions.
LA COMPASSION DU BOUDDHA
L’être humain possède la merveilleuse faculté d’être capable de supporter les souffrances inhérentes à la vie et de les transformer en une immense compassion. Cette compassion se manifeste lorsque notre cœur est ouvert et que nous lui permettons d’être sensible à la douleur des autres. C’est un flot de bonté et d’empathie pour tous les êtres.
Pour développer la compassion, nous pouvons effectuer une méditation sur la compassion qui consiste à souhaiter du bien à autrui. Assis, calme, pensez à un être que vous chérissez. Imaginez-le et ressentez de l’affection pour lui. Puis, pensez à ses souffrances. Sentez que vous voulez son bien, que vous désirez soulager ses douleurs et lui apporter du réconfort. Souhaitez-lui la paix, le bien-être, le bonheur et toutes les bonnes choses que vous voulez. Dites-lui : « Puisses-tu être empli de paix, d’amour, heureux, libre de l’ignorance et de la souffrance.
Vous pouvez faire cette méditation pour vous-même également et vous souhaiter à vous-même la paix et le bonheur. Par la suite vous pourrez envoyer des pensées d’amour et de compassion à d’autres personnes de votre entourage : votre famille, vos amis, vos collègues, vos voisins et finalement à tous les êtres. Vous serez capable de ressentir de la tendresse pour toutes les créatures de l’univers.
L’infinie compassion est dans tous les cœurs. Mais si notre cœur n’est pas ouvert, c’est parce que nous souffrons et que nous ne voulons pas non plus voir la souffrance d’autrui. C’est difficile de regarder la souffrance en face, tant en nous-mêmes que dans les autres. Nous avons tendance à tourner le dos à la douleur, à la peine, nous ne voulons pas voir pour ne pas souffrir.
La voie requiert d’observer notre souffrance et celle des autres et d’ouvrir notre cœur. En général, nous cherchons à éviter la souffrance et à résister. Mais quand on est attentif, on se rend compte que la résistance à la douleur augmente la douleur. Par contre, lorsque nous nous autorisons à être touchés par la douleur, nous nous ouvrons à elle et elle s’estompe ; nous en sommes soulagés.
C’est la compassion qui peut nous aider à supporter la souffrance et à ne pas nous sentir séparés des autres. Nous avons tous la capacité d’aimer, d’aider, d’être compatissant. Ces qualités font partie de nous. La véritable compassion n’exclut personne. Mais bien souvent nous nous jugeons, nous avons de l’aversion envers nous-mêmes. Nous devons d’abord nous pardonner nous-mêmes, être tendre avec nous-mêmes, avoir de la compassion pour nous-mêmes.
Le dalaï-lama, qui est un exemple de compassion, a dit «les Chinois ont commis d’atroces crimes envers mon peuple, qui sont d’innocentes personnes, mais quand je pense à ces soldats chinois comment puis-je ressentir autre chose que de la compassion ? L’important est de vivre empli de compassion»
Tous les enseignements sont, d’une certaine façon, une invitation à un changement d’identité, une ouverture profonde de l’esprit par rapport au sens de soi étriqué, pour plus de paix, de liberté, de bien-être, pour être en contact avec notre véritable nature ou notre nature de bouddha.
La pratique consiste à constamment recommencer à être dans le moment présent, à nous centrer dans la réalité du présent, en étant tout simplement et en arrêtant de faire, d’agir, de tenter de contrôler.
Quand nous méditons, nous faisons l’expérience de douleurs dans le corps, de l’agitation, de tensions, de la somnolence, des émotions, de la peine que l’on porte, des souvenirs, des projets, des rêves. Notre tâche consiste à être conscient de tout cela, à les voir apparaître et disparaître comme les vagues de l’océan. Les peurs, les doutes, les désirs, les pensées, s’évanouissent progressivement quand nous sommes présents et nous pouvons alors être en contact avec qui nous sommes véritablement.
Les qualités essentielles pour cela sont d’une part la présence, l’attention et d’autre part, l’ouverture du cœur, l’amour, la compassion. Les difficultés de la vie, le chagrin, les déceptions, la peur, nous ont conduit à nous fermer. La qualité qui nous permet de nous ouvrir profondément est la compassion. La compassion est la qualité du cœur liée à la douleur, à la souffrance. C’est la solution qui vient du cœur face à la souffrance. Dans les enseignements du bouddha, chaque qualité a un ennemi proche qui nous sépare de cette qualité. L’ennemi proche de l’amour bienveillant est l’attachement. Quand nous sommes attachés à quelqu’un, nous pouvons penser que c’est de l’amour, alors que c’est de l’attachement.
L’ennemi proche de l’équanimité est l’indifférence. L’ennemi proche de la compassion est la pitié. Avoir pitié des autres signifie les voir comme séparés de nous-mêmes. Les opportunités pour avoir de la compassion sont constamment présentes. La compassion naît quand nous nous sentons reliés les uns aux autres. Notre compassion se manifeste quand notre attention grandit et alors nous changeons. Au lieu que ce soit « mon corps, mes émotions, ma souffrance, ma tristesse, ma famille, mes amis, mon pays », nous nous ouvrons et partageons la souffrance des autres.
Quand nous progressons dans la méditation, notre conscience de la souffrance et de la beauté s’approfondit car elles proviennent d’un cœur ouvert. La nuit de son éveil, le bouddha regarda l’humanité et vit partout des êtres essayant d’être heureux et créant eux-mêmes, par ignorance, les actions qui les rendent malheureux et leur apportent la souffrance. Il sentit leur souffrance comme la sienne. Ceci est la compassion. Il considérait tous les êtres comme ses frères et sœurs, ses pères et mères et lorsqu’il les vit souffrir, il pleura ; il avait une compassion infinie.
Nous aussi, nous pourrons avec la pratique être plein de compassion pour tous ceux qui ont peur, qui souffrent, qui sont dans la confusion, qui sont malades. C’est un altruisme naturel. Mère Térésa a dit «je ne regarde jamais l’ensemble des gens, mais chaque personne car je ne peux aimer qu’une seule personne à la fois, je ne peux nourrir qu’une personne à la fois, juste une personne, la personne présente»
Si nous ne pouvons offrir notre compassion à un seul être, comment pourrons-nous avoir de la compassion pour plusieurs personnes ? Commençons par une personne à la fois, par ceux qui nous sont chers et ensuite nous pourrons étendre notre compassion aux autres. L’unité existe entre tous les êtres et avec toute chose. Quand une personne évolue, le monde entier évolue. Quand une personne régresse le monde entier régresse.
La nature de bouddha est en tout être. Grâce à la méditation elle peut se manifester. Cela change notre vie et la vie du monde.