Le bonheur que l’on ne partage pas avec les autres, c’est du gâchis et, surtout, c’est quelque chose d’impossible dans la vie.
Peut-on être heureux si ceux qui nous entourent ne le sont pas ? Certainement pas. Pour le comprendre, rien de mieux que cette histoire et qui fait le lien entre le bonheur personnel, et la qualité d’un bon maïs.
Cette courte histoire circule beaucoup sur le web sans qu’on en connaisse l’auteur. Mais là ce n’est pas ce qui compte vraiment… C’est qui est important, c’est l’idée et le message.
« Il y avait un fermier qui cultivait un maïs d’excellente qualité. Chaque année, il remportait le prix du meilleur maïs cultivé. Une année, un journaliste l’interviewa et apprit quelque chose d’intéressant sur la façon dont il le cultivait.
Le journaliste découvrit que le fermier partageait sa semence de maïs avec ses voisins. « Comment pouvez-vous vous permettre de partager vos meilleures semences de maïs avec vos voisins alors qu’ils produisent du maïs en concurrence avec le vôtre chaque année ? » demanda le journaliste.
« Parce que Monsieur », répondit le fermier, « Vous ne le saviez pas ? Le vent ramasse le pollen du maïs en train de mûrir et le fait tourbillonner de champ en champ. Si mes voisins cultivent du maïs de qualité inférieure, la pollinisation croisée dégradera progressivement la qualité de mon maïs.
Si je veux cultiver du bon maïs, je dois aider mes voisins à cultiver du bon maïs ».–
Il en va de même pour nos vies… Ceux qui veulent vivre utilement, doivent contribuer à enrichir la vie des autres, car la valeur d’une vie se mesure aux vies qu’elle touche.
Et ceux qui choisissent d’être heureux doivent aider les autres à trouver le bonheur, car le bien-être de chacun est lié au bien-être de tous… »
Morale de cette histoire: cultiver le bonheur des autres, c’est entretenir le sien et son propre bien-être.