Julie Latour
Si vous êtes triste parce que vous avez perdu un amour, lisez ce texte. Les douleurs de l’âme…
Vivre pleinement est véritablement un art ! La vie regorge de surprises et de déceptions, et les êtres humains doivent véritablement se considérer comme des artistes pour naviguer à travers les hauts et les bas tout au long de leur existence. Lors des moments de bonheur, tout semble merveilleux, et il arrive souvent que nous traversions ces moments sans véritable appréciation ou gratitude.
Certains, par crainte et insécurité, peuvent même hésiter à profiter pleinement des phases positives de la vie, redoutant qu’elles ne s’achèvent.
Cependant, la difficulté réside particulièrement dans la douleur qui peut frapper à notre porte : qu’il s’agisse de douleurs physiques liées à des maladies ou de douleurs morales, souvent plus déchirantes.
Les douleurs morales englobent ces tourments de l’âme que, dans notre fragilité humaine, nous laissons prendre le dessus. Il peut s’agir de l’ingratitude des enfants, de déceptions familiales ou amoureuses, d’échecs sur le plan financier ou affectif, et bien d’autres encore.
Alors quand vous avez perdu un amour, c’est dans ces moments difficiles, que notre foi et notre optimisme sont mis à rude épreuve.
Dans ces moments-là, les êtres humains doivent comprendre que bien vivre est leur plus grand défi et que ces épreuves sont nécessaires à l’école de la vie. Si nous affrontons ces épreuves avec désespoir, ressentiment et négativité, nous risquons de ne pas tirer les enseignements essentiels pour notre évolution et pourrions être amenés à « redoubler l’année ».
En face de la douleur morale, l’équilibre et le désir constant de croître et d’atteindre le bonheur sont des éléments fondamentaux.
Pour conclure, voici une pensée sage :
« Si tu es triste à cause de la perte de ton amour, souviens-toi de celui qui n’avait pas d’amour à perdre. Si la déception t’envahit, rappelle-toi de celui dont la naissance a été une déception. Si le travail te pèse, pense à celui qui, dans l’angoisse, a perdu son emploi. »
Si vous vous plaignez de la cuisson d’un plat, pensez à celui qui lutte contre la faim sans avoir un morceau de pain. Si l’un de vos rêves s’est brisé, rappelez-vous de celui qui endure un cauchemar constant. Si l’ennui vous gagne, pensez à celui qui espère simplement un sourire de votre part.
Que ce soit un amour perdu, un travail épuisant, un rêve brisé, une tristesse persistante, ou même une simple plainte au sujet de la nourriture, prenez un moment pour exprimer votre gratitude envers la vie.
Car il existe de nombreux individus qui sacrifieraient tout pour être à votre place.
