En ce moment, on peut se sentir rattrapée par le passé, revivre des situations que l’on pensait réglées, avoir des émotions exacerbées alors qu’en « apparence » tout va bien (ou à peu près); puis se sentir fatiguée, voire déprimée.
Plutôt que de refouler ces émotions ou faire comme si tout allait pour le mieux en se mentant à soi-même, il est important de regarder vraiment, une bonne fois pour toutes ce qui se passe en soi.
Parce que si cela se présente maintenant, ce n’est pas un hasard.
C’est le bon moment pour s’en libérer.
Définitivement.
Ou du moins agir ou réagir différemment si cela se représentait à l’avenir dans une moindre mesure, car on saura ce qui se passe et on ne se laissera plus avoir.
VIVRE SES ÉMOTIONS POUR LES LIBÉRER :Que sont les émotions ?
Ce sont des charges énergétiques, qui se baladent dans le corps et notre champs énergétique à un moment donné, répondant en écho à ce que l’on porte en soi (en termes de croyances/pensées/souvenirs par exemple).
Pourquoi les émotions sont-elles difficiles à vivre parfois ?
D’une part à cause notre attachement, car on a tendance à s’identifier à elles et d’autre part notre résistance à les vivre pleinement et les accepter pour qu’elles se libèrent.
Parce qu’on a peur qu’elles fassent mal.
On a peur de souffrir.
Parfois même d’en mourir.
Vivre et accepter de vivre une émotion, c’est faire de la place en soi pour avoir l’énergie disponible et suffisante : ceci pour parer aux situations se présentant.
Lorsque l’on agit avec une émotions forte en soi, la réponse que l’on donnera ne sera pas adaptée.
Alors que si nous acceptons l’émotion, en la laissant vivre dans le corps, elle se dissipera et laissera disponible de l’espace en soi pour gérer au mieux la situation ou l’événement qui aura été à l’origine de celle-ci.
L’accueil est une des caractéristiques du féminin.
Combattre est une façon erronée d’y répondre.
Soyez douce avec ce que vous vivez intérieurement.
Votre temple est sacré.
C’est par la douceur que vous pourrez peu à peu approcher la déesse qui demande à resplendir..
par Karine