VOICI UN MESSAGE DU PEUPLE INDIGÈNE
Nous sommes partis pendant 1 semaine dans le parc de Manu, jungle amazonienne, au Pérou. Nous étions éco-volontaire dans la réserve écologique, Chonta Chaka. Notre mission en nous rendant sur place était de répertorier les plantes et de leur donner leur utilisation médicale avec l’aide d’une botaniste. Sur place, nous n’avons pas été encadré pour ce travail. En discutant un peu, on s’est aperçu que d’autres éco-volontaires attendaient cette botaniste depuis 3 mois ! Existe-t’elle ? On ne le saura pas. Nous avons eu seulement une visite de la réserve par Mario (ou super Mario !!), un monsieur de 79 ans, qui nous a prodigué ses conseils en plantes médicinales et le reste, nous nous sommes débrouillés tout seul. Le lieu est paradisiaque. Nous nous sommes baignés chaque jour dans une cascade. Nous pensions rester au moins 2 semaines sur place mais au final, une semaine suffisait.
Un soir, nous nous sommes connectés, à une vieille tribu indigène qui est là depuis 1500 ans. Ils ont vécu ici, ils sont morts ici. Leur esprit est toujours présent. Voici le message du peuple indigène recueilli par canalisation:
« Soyez les bienvenus. Mioko. Nous sommes les esprits de ces lieux. Nous sommes une tribu ici, depuis 1500 ans. Nous avons vécu ici. Nous sommes morts ici et nos âmes sont restés ici pour surveiller. Nous apportons du bien être. Nous transmettons notre savoir à ceux qui le souhaitent. Ceux qui sont ici le savent ; Les anciens restent, ils se connectent à nos âmes. Nous avons la connaissance de cette jungle, de tout ce que s’y trouve.«
Sur les plantes
« Les plantes on leur parle, comme des êtres humains, elles peuvent nous raconter des choses très intéressantes. Nous savons au fur et à mesure de temps celles qui ont certaines vertues. Il suffit juste de leur demander. Touchez les, ressentez-les et demandez leur ce qu’elles ont à vous raconter. Il y en a qui sont prêtes de se sacrifier pour guérir les hommes. Mais certaines ne sont pas encore prêtes. Il y en a qui ont acquis le pouvoir de guérir, qui sont optimales et d’autres qui ne sont pas prêtes, ou pas encore. Maintenant il est possible de ne pas sacrifier les plantes comme on le faisait autrefois. Juste de se connecter à elles et d’envoyer l’énergie. C’est ce que l’on a appris au fur et mesure des années. Ce que nous avons appris, n’est plus d’actualité. Il n’y a plus besoin. Il y a besoin de laisser pousser ces plantes maintenant. De ne pas les utiliser physiquement. Testez un peu.«
VOICI UN MESSAGE DU PEUPLE INDIGÈNE : Les Animaux
« Ce lieu a connu plusieurs ères, celle où elle était remplie d’animaux de toutes sortes. Actuellement il y a beaucoup d’insectes. Il y en avait moins à l’époque. Ils servaient de nourriture à ces animaux. Il y en a beaucoup qui subissent les effets de ce que l’homme appelle la pollution. Nous le ressentons ici. Beaucoup d’animaux disparaissent. Il y a beaucoup de plantes, certes qui apportent de l’oxygène, mais cette pollution est trop présente. Ils préfèrent passer dans l’autre monde ou mourir. Ils ne sont plus, comme par le passé, nous étions beaucoup plus nombreux aussi, nous les connaissions. Nous avions conscience de leur existence, l’homme les a oublié. Il y a aussi beaucoup d’hommes qui ont chassé les animaux. Ils ont eu leur destruction. D’autres ont simplement disparu car ils n’avaient plus leur place. Nous, tribu indigène, nous avons aussi tué des animaux, mais peu par rapport à ce que l’homme fait actuellement. Nous n’avons tué aucune femelle, ni aucun enfant. Nous avions conscience de la reproduction de l’espèce. Et nous ne faisions pas de génocide ou de choses qui pourraient mettre en danger les espèces. Les animaux qui allaient mourir, le savaient quelques jours avant … comme un sacrifice. Ils étaient prêts. Maintenant les hommes ne comprennent plus cette notion que l’on ressent les choses arrivent avant qu’elles n’arrivent réellement. Ils peuvent éventuellement comprendre quelques instants avant, mais quelques jours avant c’est trop compliqué à comprendre. Les animaux ont toujours cet instinct. Vous vous tuez des animaux en masse. On appelle vraiment ça un génocide. Ces animaux savent quelques jours avant qu’ils vont être torturés et tués lâchement. C’est ça qui leur met dans un état de stress. Nous nous faisions des prières, l’animal était sacré un jour avant de mourir. Nous prions pour son âme. Et oui, chaque animal à une âme ! Nous ne savions pas au moment de la prière quel animal serait tué. Nous nous connections juste à ce futur animal. Il y avait un rite. Nous savions qu’il allait nourrir des familles entières et son âme étant parti, nous pouvions mettre une bonne énergie dans cette viande, dans cette nourriture. C’était exceptionnel. Nous faision ça quand nous ressentions que nous avions besoin de la force d’un animal. Maintenant, ils sont sacrifiés sans raison. Il n’y a plus de pensées pour son âme, de connexion à cette nourriture sacrée, la vibration ne peut faire que baisser chez lui et chez les êtres qui le mangent. Les plantes c’était pareil : elles savaient qu’elles allaient être mangé, mais elles repoussaient ensuite. C’était la fin d’un cycle pour un nouveau cycle. Pensez vraiement à vous connecter à chque nourriture pour y mettre une vibration qui est juste pour vous. Ici ces êtres qui pensent reforester la forêt ne sont pas toujours connecté à la conscience de la forêt. Est-ce que ces plantes qui vont repousser, sont-elles vraiment indispensables ? Sont elles en vibration avec le reste de la forêt ? Sont-elles à leurs place ? L’essentiel est là, il y a besoin de se connecter à son être, à la forêt. Parfois quand on pense bien faire, on ne fait pas forcément du bien. Il y a besoin d’un temps d’apprentissage. Dans notre tribu, on apprenait ça quand on était enfant. Maintenant il est possible de le faire en étant adulte. Le temps d’apprentissage est beaucoup plus rapide dans l’ère actuelle. Donc nous, hommes et femmes de la tribu, nous le faisons pour eux pour le moment. Mais il serait essentiel que l’homme puisse aussi se connecter. Nous influons, certes, mais pour que l’homme évolue dans le bon sens, il serait essentiel de le faire. C’est ça qu’il vient apprendre ici. Que des êtres leur apprennent. Tout évolue très rapidement actuellement, mais ça vous le savez déjà.
Les personnes qui viennent ici ne se connectent pas forcément au lieu, méditent très peu, ne sont pas en alignement avec eux-mêmes. Il sera essentiel de placer cela ici, pour que les choses soient plus fluides, plus naturel. Vous êtes peut-être les seuls ici à comprendre cela. Ce n’est pas en voulant bien faire les choses qu’on les fait bien. Il y a une technique, certes, pour planter. Mais l’essentiel n’est pas là. C’est ÊTRE qui est un tout. Nous avions déjà compris cela à notre époque et nous nous sentions connecté au tout. Peu le comprennent maintenant. Nous n’avions pas besoin de planter des arbres, cela se faisait, c’est tout. Quelques tribus ont encore cette conscience encore. Mais chaque être humain dans ce monde peut le faire aussi. »PHOTOS: